une couverture digne d'un grimoire |
-Allons José, il nous faut un abri pour cette nuit, Cuivre-Jaune a des fusils, et nous n'avons plus que nos armes naturelles...allons chercher un asile dans les forêts. Un de nos canons a été enlevé de dessus la plate-forme et culbuté sur notre chemin, il est chargé, José; si nous avions un fusil, en le déchargeant nous trouverions assez de poudre pour tuer Cuivre-Jaune...José réfléchit.
Je n'ai pas trouvé ce qu'étaient les armes naturelles, mais José réfléchit, il a dû trouver une solution mais m'a perdue en route.
Ça me fait réfléchir, tout d'un coup, au destin des oeuvres littéraires, car ce livre édité en 1859, qui est passé de mains en mains, a même peut-être fait l'objet d'un héritage, imaginez la scène:
"Tiens, mon fils, prends ce livre, je le tiens de mon arrière-grand-père, je l'ai emporté partout, je l'ai chéri toute ma vie et tu feras de même" , (gloups, si c'est vrai, je suis en plein désastre, pardonnez-moi )
Oui, ce livre a eu une vie et a sans doute distrait et passionné des centaines de lecteurs, et il se retrouve sur le marché de Poitiers à côté de vieilles godasses et de casseroles sans manche, 150 ans après avoir été publié...le voilà acheté à 1 euro . C'est un peu triste quand même. Mince, je n'y avais pas vraiment pensé.
Good bye Les naufragés! |
C'est une chance pour lui finalement. Voyons les choses du bon côté.
Il se pourrait même que ses pages finissent entre les mains de jeunes artistes de 7 ans...
Oui, c'est ça, une renaissance.
1 commentaire:
Les dents ?
ou alors ensuite, ça devient grivois...
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